LE DÉMON DE L’AMOUR

 


Cette nuit claustrale que métamorphose l'entendement, la poésie, ce corps en hâte se fusionne à l'esprit, élément unique chez l'être humain, panoplie et plaisanterie.  Amour! bonjour !..... Bref quelle émotion! Cette nuit? Je ne t'aime plus.  Et la vie en compagnie de ses surprises parmi des émotionsRIGOLE
Oui je cherche les affolements, la tendresse de l'amour. Une aurore, depuis le destin, me prend, me secoue, l’élocution parmi sa propre durée, sollicite en moi une négociation de la flottante réalité qui arbitre au fur et à mesure l'amour récemment désiré. Ce crépuscule; l'assouvissement de l'avenir, ce dépit de la libido.  Caractéristique, la même particularité.  Parles moi du magnétisme du Diable, de Jésus et de sa bonté, de la rigueur de la moralité qui pilote le lecteur, au sein de cet ardent discernement chaotique, ou logique, votre équilibre d'esprit, puisque vous appelez ça l'esprit, perdue à l'intérieur des houles, ou la réalité, tourbillon de la vérité. Regrettable, la faiblesse d'esprit ôte l'émolument l'ultérieur millésime 2000, pourtant le C. Ce siècle, l'économie politique et sa diplomatie rationnelle.
Voilà animé lecteur, les plus démesurés en sont venus à être les plus nabots. Lecteur, votre vérité, réitérée, franchise qui ne s’intime pas avec vous, votre péroraison logique, empire d'enragé!
L’amour, par sa grande force, se questionne ?
On se désire? L'oeuvre au milieu démoniaque de la logique.  Que fais-je ici ?
Au sein de quelle pièce de théâtre suis-je genèse, emmêlé, simultanément ? La passion, l'envie, les multiples prédictions, présages astrologiques logiques et illogiques. Cependant l'argent, la prochaine jouissance. Les acquisitions que vous possédez, les pièces clé pour votre béatitude.  Votez compte en banque, mon ami, regardez vous bien foncièrement et réfléchissez. Vous dont le chaste imaginaire engendre votre être, par corollaire change ultérieurement votre réalité; votre chêneau éthique doit être révisé, admonestation vigoureuse, envers votre monde économique qui rend funeste votre passion, détruit votre mémento, sans vous et votre orgueil, enfin, bonhomme; le zénith de l'esprit.
L'absolutisme de la pensée.  Descartes cet homme audacieux, très dédaigneux de lui et de son jugement, parfois dogme d'exactitude. Où votre fierté nous amène ? Descartes mon cher aimé, arbitre heureux, je crois que c'est difficile être parmi une homogène turbulence au sein du discernement.  Axiomez-vous . Vous qui êtes absent. Cet une conscience, une pensée.  Et voilà un autre jour qui se manifeste dans la réalité de la conscience. Une dissemblable nuit d'angoisse! La vie. Piégé par le démon de la passion, triché à travers la frivolité méthodique, l’appétit de l’amour. Amour. Inclination exclusive de l'être comblé à la dévotion, fastueux, florissant au paradis, lorsque peu à peu il sent, nie et écorche l'amour, comme elle, sans doute. Embrasser, accomplir, l'immaculée tendresse.
Profond au sein du paradis de la sublimité, la raison de votre pulpe litanie des émotions, la vérité de la nature, est à l'endroit spontané de votre courbure. Simultanément au milieu de votre vitalité, vous pouvez être définitivement vous, bien difficile d'avoir pleinement! l’habileté de votre logique; que dites vous ? Liaison quelquefois. Passion. L'oxygène que vous respirez, l'envie du Démon, pourtant, Dieu, fréquemment ressuscité, fréquemment Démon.  La raison Démocratique prend et pénètre le plaisir, essence et passion, faveur envers désir, impulsion qui pénètre l'amour en même temps le désir; pénètre l’autre.  La musique de la discothèque "la boîte à sardine" là j’ai entrevu NICOLE, pleinement pendant le hasard, personne ne me l’avez dit; scrupuleusement une chance imprévue, moment du destin, elle, instable, danse pleinement la nuit et se pointe à l'aube. NICOLE femme infidèle, déesse virtuelle, ombre précoce et agressive ? NICOLE, mystère de toute ombre.
 En fin de compte FRANCK, calmes toi, elle va revenir. Transport intelligible, son comportement extravagant c'est uniquement des moments d'amour brouillés, comme une capture, cette brûlure, le brouillard.  Ce crépuscule passionné. Dulcinée tu seras dans les bras de Sophie, paisible, mon bébé, paisible. SYLVIE coquine brune pétillante, délicieuse déesse d'amour, agréable maîtresse du plaisir. L'égoïsme disparaît et le peuple se disperse, les richesses renversées, la générosité, le partage économique, digne avantage, puisque l'oeuvre est la dissolution de l'égoïsme. Votre liberté, oui, votre liberté achevée, grâce à la disparition de l'égoïsme.  Néanmoins le monde est tellement peuplé. Parmi la quantité démesurée, parmi les individus. De même façon, rendre la vitalité, gabelou élaboré avec toutes les disciplines sociales; toute vie liant la vigueur animale de l'homme soi-disant, et l'amour.
 Davantage se questionner ? Un autre verre de bière et on négocie, on parle de la littérature par rapport à l’intelligence de l'égoïsme. qu’est-ce que l’on consomme ce soir ? Un délice... Un plaisir de femme mon petit chérubin, ma petite malice.  Qui je suis ? Question d'amour! Monastique dévotion. Me connaître et me goûter, me dire bonjour et me désirer. Emballe moi dans tes mains et regarde moi, embrasses moi, suce moi, touches moi, écris moi décris moi dans ta passion... Et en compagnie de ta douceur je prendrais ma place. Fructueuse ouverture, inclination. Viens vers moi, embraserai davantage. Ris des modalités du drame de la vie, de la folie de la raison. Amuse toi sphère d'amour. Nourris toi en ma compagnie.  "Propos d'amour". Vide allusion. Abandon dans la jouissance . Voilà douceur, le paradoxe de la folie. Attroupement des personnes qui méritent pêcher l'amour. Il vit entièrement à coté de vous, dedans vous, il est toujours là où vous furetez exclusivement. Il se trouve là, derrière votre lit, dans la boîte postale, aux environs du café d’à coter, au milieu de la rue, et aux abords du magasin de chefs-d'oeuvre. Rimg..Ring...  Le boulanger se veille. Allié de 8 heures de matin, il se couche à minuit. Est-ce que l'épisode est possible, au milieu de la véridique histoire de l'amant, de l'amour ? Le prince des ténèbres. Le Demi-dieu, L'AMOUR............ A ce soir.
 

ASSORTIMENT ... Quand je veux parler des choses qui viennent de notre coeur, on se retrouve dans la fluctuation de prévoir ce résultat. Mais notre désir est de palper l'autre vers lequel notre coeur et dirige. Le coeur qui bat sans avoir de maître et qui est, sa n'arrête jamais, celui qui pouce le sang vers le cerveaux est celui qui fait renaître l'amour en nous ! Chose impudique imprévisible qui nous frappe et met notre humeur dans un état de tuyau involontaire, l'envie non satisfaite chez l'homme et sa perspicacité de l'absence de l'absolu. Il se trouve dans une alternative de sa volupté et la résignation à sa compagne, laquelle est le complément absolu pour une union cosmique avec l'univers, car l'homme, être mystérieux, mesure en lui le secret de cet univers dans lequel il se trouve, il partage cette question avec sa femme, car son existence est une dualité, unique et une unité simple. Son opposé est lui, pour son existence et l’existence de son sexe opposé. Sa femme, être égal a lui, donne ce conflit éternel entre l'homme et la femme est la pure raison de sa liaison avec elle, son complément qui est la raison de sa discorde. Vers un discours pour se trouver lui même; comme absolu et pour découvrir que sa réponse est dans sa naissance, qui existe grâce a une femme. Dans notre temps ou l'homme est créé dans un bocal de verre ce n'est pas la création d'un être qui est l'énigme de l'homme mais son manque d'unité, on peu tenir compte de son esprit, car être existant est animal; et l'être, esprit unique, se fragmente en lui même. Cette unité existe, grâce a sa propre inimitié, la dualité de l‘un en dedans et l'autre a l’extérieur. Cette dualité exige a cet homme de vivre avec la femme, et aussi a la femme avec l'homme, les deux sexes se pose la même question, et trouve la même réponse. Cette connivence qui atteint son zénith avec le plaisir, et l'orgasme sexuel est la transformation de l'être a pouvoir se comprendre entièrement, sans dépendance de l'autre. Et cela donne comme résultat que sa propre unité est inexistante sans sa femme, source de question et source de ces réponses, et voilà le destin humain, sublime union éternel du plaisir,et désir.
 

la vie


a.bremon@caramail.com